Les aubépines de Heidelberg
…car les aubépines se musent devant les troufions (pioupiou ! est-ce vraiment nécessaire ?...) démunis. Cette humiliation les blesse évidemment : ils se sentent épuisés d’avance par leurs opérations intérieures, harmoniques et fantaisistes (quelle farandole !). Ici à Heidelberg, nulle place pour le solipsisme ni pour les mauviettes. En route vers la promenade des philosophes entourée de résidences magnifiques ! Des bancs attendent des rêveurs, des touristes ou des voyageurs… et les aubépines se musent toujours devant les troufions !
Jean
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